Un ouvrage pour le moin étonnant !

Interview de Patricia Darré

A vous de juger! Réel message ou supercherie ?

Patricia Darré, née le 27 juillet 1958 à La Châtre, dans le département de l’Indre, est une médium, journaliste, animatrice de radio et écrivaine française, connue pour ses expériences paranormales. Elle prétend être capable d’entendre, de voir, de parler, et d’établir de nombreuses communications avec des âmes et des esprits de personnes défuntes depuis 1995.

Travail de recherche du C.E.R.T sur l’histoire de l’origine des néo-templiers depuis 1705

Ecoutez l’audio de ce texte à la fin

C’est sur le territoire français, après plus de 400 , qu’en 1705 l’Ordre des Chevaliers Templiers fait une résurgence néo-templière. Alors que la franc-maçonnerie que l’on connaît est encore absente du paysage Français. Cet Ordre dit néo-Templiers fut créé comme l’ancien sous l’aspect d’un ordre militaire créé par Philippe de France, duc d’Orléans, Fils de France et petit-fils de Louis XIII. Il convoqua à Versailles un convent général, au cours duquel il dévoila les statuts généraux de l’Ordre inspirés par la règle de Saint-Bernard de 1128. C’est ainsi qu’il ressuscita l’Ordre du Temple avec les officier de son armée.

Quelques années plus tard, on peut retrouver dans ces descendants Louis-Philippe Joseph d’Orléans surnommé « Philippe Égalité » qui fut un important membre de la Franc-maçonnerie avant qu’il ne la quitte. En 1771, Philippe égalité Duc d’Orléans était le premier grand maître du Grand-Orient de France qui était issue de la Grande Loge de France de 1728. Mais, voilà, au début du régime de la Terreur, il fait publier une lettre de réponse dans le Journal de Paris du 22 février 1793, qui l’accuse dans un article d’avoir dans Paris « un grand parti », cette lettre se termine de la sorte :

« Dans un temps où personne, assurément, ne prévoyait notre Révolution, je m’étais attaché à la franc-maçonnerie qui offrait une image d’égalité, comme je m’étais attaché au Parlement qui offrait une image de la liberté. J’ai, depuis, quitté ce fantôme pour la réalité. Au mois de décembre dernier, le secrétaire du Grand Orient s’étant adressé à la personne qui remplissait auprès de moi les fonctions de secrétaire du Grand Maître, pour m’envoyer une demande relative aux travaux de cette société, je répondis à celui-ci, sous la date du 5 janvier : “Comme je ne connais pas la manière dont le Grand Orient est composé, et que, d’ailleurs, je pense qu’il ne doit y avoir aucun mystère ni aucune assemblée secrète dans une République, surtout au commencement de son établissement, je ne veux me mêler en rien du Grand-Orient ni des assemblées de francs-maçons”. »

La consternation que provoque ce reniement public à l’intérieur de l’ordre maçonnique impose le 13 mai suivant, la tenue d’une assemblée exceptionnelle qui « accepte sa démission » et sursoit à son remplacement, pour étudier la suppression éventuelle de ce titre et de l’inamovibilité de cette charge. Philippe égalité fut aussi député pendant la Révolution et aurait voté la mort de son propre cousin le roi Louis XVI en disant ceci « Uniquement occupé de mon devoir, convaincu que tous ceux qui ont attenté ou attenteront par la suite à la souveraineté du peuple méritent la mort, je vote la mort. »

Accusé de complot avec l’ennemi quelque mois plus tard, Philippe Égalité est ramené à Paris et envoyé à la Conciergerie le 2 novembre. Il est jugé par le Tribunal révolutionnaire, présidé par Martial Herman, le 6 novembre 1793. Pourtant acunes preuves crédible étaient présentes contre lui, mais durant cette période de tumulteet de terreur, la simple suspicion suffisait.

Il est intéressant pour la petite parenthèse de constater que Martial Herman qui prononça la sentence fut lui-même désigné comme principal responsable, après Robespierre et les autres membres du Comité de Salut Public, de l’organisation de Conspiration. Pour « avoir, à l’aide de machinations et de complots, favorisé les projets liberticides des ennemis du peuple et de la République, notamment en faisant périr, sous la forme déguisée d’un jugement, une foule innombrable de Français de tout âge et de tout sexe, en imaginant à cet effet, des projets de conspiration.》 Il est condamné à mort - à une voix de majorité — le 17 Floréal An III (6 mai 1795).

Une question ce pose alors 《est ce que la loge du Grand-Orient de France fut à la base de réunion secrète ayant conduit à un complot national.》

Après la Révolution française et le coup d’Etat de Napoléon Bonaparte, la franc-maçonnerie du Grand Orient de France devait connaître un nouveau souffle. Car son grand-Maître n’était autre que le frère aîné, de Napoléon Bonaparte, le Prince Joseph Bonaparte. C’est en parallèle de ce nouvelle Empire que l’on peut voir se créer un Ordre du Temple paramaçonnique créé par le franc-maçon Bernard-Raymond Fabré-Palaprat en 1804. C’est à cette instant précis que devait naître la néo-chevalerie Templière maçonnique.

De plus le paradoxe de l’histoire française voulu que c’est dans l’ancienne tour des Chevaliers Templiers de Paris que fut emprisonné Louis XVI et sa famille avant qu’il ne soit guillotiné. Puis la tour du temple fut détruit par Napoléon Bonaparte pour quelle ne devienne pas un monument à la gloire du Roi et de la monarchie qui venait d’être exterminée.

Il est important de savoir dans cette page d’histoire qu’il n’existe aucune filiation historique attestée entre l’Ordre des Chevaliers Templiers et les Templiers maçonnique. Comme l’élite de la Franc-maçonnerie réunie au Convent de Wilhelmsbad en 1782 l’avait elle-même attestée. Réponse qui fut donnée suite à un questionnaire rédigé par le grand Maître « où il énumérait les principaux problèmes que le futur Convent aurait à résoudre tels que : l’existence de vrais supérieurs, le cérémonial et les rituels, la restauration de l’Ordre du Temple, et le but public ou secret, extérieur ou intérieur ».

Cette nouvelle chevalerie templière paramaçonnique devint alors un faire valoir pour la franc-maçonnerie et un vase communiquant pour recruter de nouveaux Franc-maçons. Certains franc-macons allèrent même jusqu’à rédiger un faux document appelé la charte de Larmenius pour créer une filiation fantoche qui n’avait jamais exister. Cette même franc-maçonnerie néo-templière naquit dans la loge des Chevaliers de la Croix, loge qui relevait à sa création du Grand Orient de France et qui en fut exclue en 1841.

C’est ainsi que la chevalerie dite franc-maçonnique qui émergeait en Europe dès le 18ᵉ siècle devait s’approprier l’histoire de ses grands ordres de chevaleries du passé pour créer dans leurs rituelles des degrés d’initiations se remémorant ceux-ci. Tout ceci via des dogmes créés par des évangélistes protestants et sous les secrets ésotériques du Judéo- Christianisme des lumières.

Tout ceci bien entendu en marge du catholicisme et de son église !

On comprend dès lors pourquoi la Franc-maçonnerie fut l’ennemi juré du Saint-Siège au Vatican.

Jusqu’à maintenant

Histoire de la création du Cercle d’Enquête et de Recherche Templière

Le C.E.R.T a été créé sous l’impulsion du Chevalier Miles Jean-Charles Martin, ancien Sénéchal de Suisse de l’O.S.M.T.H internationale, et du Chevalier Miles Jacques Dubos, qui allait devenir le 53ème Grand Maître de l’O.S.M.T.H internationale. Sa création fut validée lors du Convent de Stockholm en 2015.

Suite à la démission du Chevalier Miles Jean-Charles Martin de l’O.S.M.T.H, le C.E.R.T devint une organisation totalement indépendante de l’O.S.M.T.H internationale.

C’est ainsi que le C.E.R.T est devenu une organisation indépendante, financée par des fonds privés. Il est constitué uniquement de personnes sélectionnées pour leurs compétences et leurs spécialisations, et non pour leurs grades ou statuts sociaux. En effet, au sein du C.E.R.T, tous nos Chevaliers quêteurs sont égaux.

LA MISSION DU CERT

De nos jours, une grande partie de la connaissance originelle semble avoir été perdue dans les méandres de nos écrits, de nos préjugés et de nos croyances. Voilà pourquoi, ils nous paraissaient important d’effectuer des recherches et des enquêtes pour dissocier le vrai du faux.

Non par le, on m’a dit, mais par le, j’ai recherché !

A l’heure actuelle, nous vivons dans des temps quelque peu perturber, qui nous oblige, pour les plus réveillés d’entre nous, à parfaire notre connaissance. Afin de mieux appréhender notre environnement qui devient de plus en plus hostile. Cependant, nous ne pouvons pas toujours trouver les réponses à nos questions dans le présent, car celle-ci réside aussi dans l’histoire de notre passé.

Comme nous l’enseigne si justement, l’étymologie des mots grecs et latins historia, qui dénomment l’enquête comme une connaissance acquise par la recherche et transmise par le récit de ce que l’on a appris. C’est uniquement par la véracité de ce que nous avons trouvé et par sa transmission que nous pourrons apporter de nouveaux éléments à l’histoire de notre monde.

Le siège de notre Cercle se trouve sur le territoire de Genève, où se trouvait jadis une commanderie Templière.

Effectivement, l’ordre du Temple comptait sur l’actuel territoire suisse que deux commanderies : La Chaux à Cossonay attestée en 1223 et à Genève (quartier de Rive) citée en 1277. Celles-ci possédaient d’autres maisons dépendantes (les écarts), notamment à Cologny, Bénex (commune de Prangins) et Entremont (commune de Yvonand). Tous ces établissements relevaient de la baillie (ou préceptorie) de Bourgogne, subdivision de la province de France

C’est par cette même histoire que les chevaliers templiers ont toujours été dépeints comme les gardiens d’une connaissance quasi mystique et secrète à travers les siècles.

Leur savoir et leur richesse devaient effrayer le Roi de France au point de les faire arrêter avant que l’Ordre ne soit dissous avec l’aval du Pape. Certains dignitaires furent même exécutés au bûcher dont le grand Maître Jacques de Molay sous de fausses accusations.

On sait maintenant que les Templiers avaient acquis des connaissances hors norme aussi bien dans les domaines de la spiritualité, de l’ésotérisme que dans l’art de la guerre.

Ce qui faisait d’eux une milice du Christ redoutable !

NOTRE DEVISE

Parabit Colligiret Factarum Sator
(Il se prépare à recueillir les faits du Stator).

Cette devise est en lien avec le logion 2 de l’Évangile apocryphe Thomas qui nous dit 《Logion 2: que celui qui cherche, qu’il ne cesse de chercher jusqu’à ce qu’il trouve ; quand il aura trouvé, il sera troublé ; troublé, il s’étonnera et il régnera sur le tout.

L’apôtre Thomas, qui était le plus sceptique au regard des pouvoirs de Jésus et qui ne croyait que ce qu’il voyait.

Quant au nom Sator, c’est une grille de codage appelée aussi carré magique, l’un des premiers cryptages relié aux chrétiens gnostiques. Ce carré servait aussi de talisman pour une multitude de choses.

Cette grille de cryptages mettrait à jour les plus grands secrets du christianisme qui aurait été caché par Jésus lui-même. L’Empereur Constantin 1ᵉʳ, puis l’Empereur Charlemagne et enfin les Chevaliers Templiers auraient réussi à décrypter une partie de son message, mais rien ne devait nous être parvenu à ce jour.

Bienvenue à tous dans le cadre du Cercle d’Enquête et de Recherche Templière !

Depuis des siècles, les mythes et légendes ont captivé notre imaginaire, nous transportant dans des mondes empreints de courage, d’héroïsme et de mystère. Parmi ces récits, les histoires des chevaliers et des ordres de chevalerie occupent une place particulière.

Les chevaliers, symboles de bravoure et de loyauté, ont été les protecteurs des royaumes, des lieux saints et des valeurs chevaleresques. Leur engagement envers l’honneur, la justice et la quête du Graal a inspiré des générations entières.

Mais au-delà des contes et des légendes, les ordres de chevalerie ont joué un rôle crucial dans l’histoire, façonnant les sociétés médiévales et contribuant aux événements majeurs de l’époque. Parmi ces ordres, l’Ordre du Temple, connu sous le nom des Templiers, suscite toujours l’intérêt et l’admiration, mais aussi de nombreuses interrogations.

Au cours de nos conférences, nous explorerons les origines des mythes entourant les chevaliers et les ordres de chevalerie. Nous plongerons dans les récits épiques de la Table Ronde, des chevaliers de la quête du Graal et des exploits des Templiers. Nous examinerons également les rituels, les valeurs et les codes d’honneur qui régissaient la vie de ces guerriers d’élite.

Comme les anciens Templiers, nous travaillons sur différentes enquêtes, englobent les formes de décryptages liées aux codifications du carré du Sator, le décryptage secret du sceau de Charlemagne, et la compréhension de l’alphabet secret templier ou encore le décryptage de la croix des huit béatitudes.

Nous sommes aussi sûrs des enquêtes de terrain concernant l’île secrète des Templiers et les implications de l’Ordre du Temple à Genève et bien d’autres sujets qui nous passionnent.

Dont celui des liens qui auraient existé entre la franc-maçonnerie et l’Ordre du Temple, qui semble actuellement être fondé sur des récits et des documents quelque peu douteux.

LE CARRÉ MYSTIQUE ET CODIFIÉ DES ANCIENS CHRÉTIENS.

Le carré du SATOR est un carré magique et l’une des plus anciennes codifications chrétienne connue (Pompei en 79). Le mot Sator est un mot celte qui correspond au Dieu des semailles, appelé aussi le semeur. Il est identifié chez les Romains à Jupiter puisque celui-ci est aussi appelé Sator Hominum et deorum soit respectivement le père des dieux et des hommes. Chez les Celtes, le Dieu Sator est lié expressément à la planète Saturne qui se dit Satorn. Ce carré renferme en lui les noms de la doctrine des premiers gnostiques.

LA SAINTE LIGNÉE DU CHRIST ET SON SYMBOLE.

L’Évangile de Luc présente Marie de Magdala comme la femme que Jésus a délivrée de sept démons ; elle devint une de ses disciples — peut-être la disciple femme la plus importante du Christ après sa propre mère —, et le suivit jusqu’à sa mort.

Un texte du codex de Berlin, écrit en copte à la fin du IIe s., porte son nom : l’Évangile de Marie. Il s’agit d’un texte gnostique comprenant un dialogue entre le Christ et Marie de Magdala, celle-ci le restituant aux apôtres, suivi de dialogues entre Marie et eux. Dans la Pistis Sophia, texte gnostique en copte datant de 350 environ, Jésus dialogue avec Marie Madeleine et les autres disciples.

L’Épître des apôtres 16,17, l’Évangile de Pierre, l’Évangile de Thomas et l’Évangile de Philippe évoquent également Marie Madeleine. Dans ce dernier, elle devient la disciple préférée de Jésus.

La tradition et l’iconographie chrétienne s’appuient sur ces textes canoniques et apocryphes pour donner plusieurs visages de Marie de Magdala, nommé « Sponsa Christi ») qui se traduit par Promise ou fiancée du christ.

De ses différents écrits de multiples hypothèses ont vu les jours sur la probabilité d’une sainte lignée engendrée par Jésus et Marie de Magdala. A ce jour, aucune preuve n’a pu être produite pour valider ses dires.
Henry Lincoln va d’ailleurs inspirer avec son livre l’énigme sacrée le romancier de renom Dan Brown pour son Da Vinci Code !

LES 1ER ORDRES DE CHEVALERIE CHRÉTIEN

On peut retrouver sur une pierre de Rome une gravure ou l’Empereur Constantin est gravé sur un trône ou il donne le collier avec la croix aux principaux de l’Empire avec l’inscription suivante « Constantinus Max: Imperator, postquam mundatus a lepra per medium Baptismatis, Milites sive Equites Deauratos creat in tutelam Cristiani nominis»

Milites sive Equites Deauratos Tutelam Cristiani nominis pourait ce traduire par Chevaliers d’orer née de la protection de la famille des chrétiens.

la Loi du Code Theodosien prœpofitis laborum, parle d’ailleurs de cinquante de ces chevaliers qui avaient pour mission de porter l’étendard du Laborum devant les Empereurs.

On peut aussi retrouver étrangement dans le mot DEAVRATOS (d’orer) l’anagramme du mot latin DAVE ablatif singulier de vas qui signifie garant et l’anagramme du mot sator.

LE CHEVALIER PERCEVAL OU L’ALLÉGORIE DE LA QUÊTE DU SAINT GRAAL

Le chevalier Perceval était l’un des célèbres chevaliers de la Table ronde qui participèrent activement à la quête du Saint Graal avec ses deux compagnons Bohort et Galaad.

Dans l’énigme sacrée des journalistes d’investigations britanniques Henry Lincoln, Michael Baigent et Richard Leigh, il est même associé au territoire de Sion en Valais (Suisse) malgré sa particule nominative de Gallois.

Il est dit dans la légende du Graal que sa sœur Dandrane était porteuse du Saint Graal !

Perceval et Galaad devaient malheureusement perdre la vie dans cette quête du Graal et seul, Bohort réussi à mettre un terme à celle-ci et à en ressortir vivant. La légende nous conte aussi que Perceval serait issu de la lignée du Roi pêcheur et du Roi Arthur et que c’est lui qui aurait été pressenti pour leurs successions.

Le nom de ce chevalier se disait aussi Peredur, un nom qui était composé en premier lieu de Pere qui se trouve être une variante de Per (celte) qui peut signifier Pierre, milieu, pomme, fertile, Lance, pointe et du nom Dur (celte) qui peut dire chêne, acier ou eau.

Ce même nom de Perceval nous laisse aussi apparaître dans son orthographe initiale le mot breton Per qui signifiaient à nouveau Pierre et ceval qui ne semblait correspondre à aucun nom en Celte.

Mais, alors que pouvait bien vouloir dire cette deuxième particule !

LE SCEAU SECRET DE CHARLEMAGNE

Et, si en réalité Charlemagne avait inventé une codification secrète qui nous permettrait de nous conduire à retrouver son trésor de connaissance.

LE CARRÉ MYSTIQUE ET CODIFIÉ DES ANCIENS CHRÉTIENS.

Le carré du SATOR est un carré magique et l’une des plus ancienne codification chrétienne connue ( Pompei en 79 ). Le mot Sator est un mot celte qui correspondrait au Dieu des semailles appelé aussi le semeur. Il est identifié chez les Romains à Jupiter puisque celui-ci est aussi appelé Sator Hominum et deorum soit respectivement le père des dieux et des hommes. Chez les Celtes le Dieu Sator est lié expressement à la planète Saturne qui ce dit Satorn. Ce carré renferme en lui les noms de la doctrine des premiers gnostiques.

SCEAU DU 1ER ROI DU PORTUGAL ET PRÉCEPTEUR DU TEMPLE.

Le premier sceau royal d’Alphonse Iᵉʳ semble être porteur d’un message. En effet, on remarque aisément que la disposition des lettres du mot « Portugal » peuvent être décomposées en « Por Tu Gral » :on peut lire POR qui signifie POUR en portugais puis Tu qui signifie Ensuite, tu ou toi et enfin, dans la partie inférieure, on peut lire GRAL, incluant le R décalé probable variante du mot Graal.

LA CROIX ABRAXAS DE LAUSANNE

Argent niellé H. 8, 3 cm, L. 8, 2 cm Burgondie franque, fin du VIe-VIIe siècle,Lausanne, musée cantonal d’archéologie et d’histoire, Inv. 30 969

A une époque où le christianisme est largement diffusé et adopté, les traces du paganisme subsistent et se mêlent à l’iconographie et la symbolique chrétienne. Ainsi, sur une croix découverte sur le torse d’un défunt, on peut lire l’inscription Abrasax, plus connue aujourd’hui sous la forme « Abracadabra » (Que Dieu protège). Cette formule était couramment inscrite sur de petites intailles-talismans à partir du IIe siècle et se retrouve naturellement sur des croix personnelles, afin d’en augmenter l’efficacité. Cette dimension quasi superstitieuse se retrouve dans les bourses-reliquaires, de petite taille, qui pouvaient être cousues aux vêtements.

LE SCEAU SECRET DE L’ORDRE DES TEMPLIERS

LE SECRETUM TEMPLI PLUS CONNU SOUS LE NON D’ ABRASAX (grec : Αβραξας) ou encore Abracax, est un terme gnostique, utilisé notamment par Basilide, qui désigne les 365 émanations du dieu suprême. ABRAXAS serait dit-on un cryptogramme d’origine hébraïque, écrit initialement sur deux lignes ABRA / XAS, qui lues en boustrophédon hébraïque, font ARBA / XAS, c’est-à-dire : « Que Dieu (ARBA) protège (XAS) ». La formule magique abracadabra proviendrait donc du terme abraxas.

Lettre de Jacques de Molay 1296

Lettre de Jacques de Molay, Grand Maître de l’Ordre du Temple, à Ramon de Bell-lloc, Commandeur de Torres de Segre, l’informant de son intention de se rendre à Chypre le 24 juin, et lui demandant l’aide nécessaire pour sa charge, le tiers de leurs revenus pour les efforts militaires pour libérer la Terre Sainte.

REX BELATOR

Lettre de Nicolas IV à l’archevêque de Narbonne, la partie soulignée en rouge montre la demande de fusion des ordres de l’Hôpital et du Temple.

Raymond Lulle, lors du Concile de Vienne. Il fut le premier à proposer l’idée d’une fusion des Ordres Chevaleresques après la chute de Saint-Jean d’Acre

Burchard von Schwanden, 12eme grand maître de l’Ordre Teutonique. Il quitte son poste juste avant la chute de Saint Jean d’Acre pour rejoindre les Hospitaliers puis essaie en vain de revenir chez les Teutons..

Le pape Nicolas IV qui demanda un concile pour la fusion des ordres.

Lettre de Nicolas IV à l’archevêque de Narbonne, la partie soulignée en rouge montre la demande de fusion des ordres de l’Hôpital et du Temple.

Raymond Lulle à gauche, lors du Concile de Vienne. Il fut le premier à proposer l’idée d’une fusion des Ordres Chevaleresques après la chute de Saint-Jean d’Acre

Nous nous intéressons aussi de près à Burchard von Schawnden, 12 eme grand maître de l’Ordre Teutonique. Ce personnage reste tres énigmatique: En 1290 il parti pour défendre Acre, mais arrivé sur place il ne resta que 3 jours avant de démissionner de son poste pour rejoindre l’Ordre des Hospitaliers. Il serait ensuite allé en Suisse où il décède en 1310. Certains historiens pensent qu’il serait lié au projet Rex Bellator, étant lui-même sous l’autorité du pape Nicolas IV.

Le pape Nicolas IV avait lui même déjà écrit une lettre à l’archevêque de Narbonne en 1291 imposant la nécessité de tout mettre en œuvre pour maintenir une présence chrétienne en terre sainte et amener les frères de l’Hôpital et du Temple à « ad unius ordinis unitatem » (l’unité d’un ordre unique)

Nicolas IV décède en 1292, ce qui coupe court au projet de fusion, son successeur Bonniface VIII ne cherchera pas à imposer cette fusion et ne fera que consulter les Maîtres des différents ordres.

La charte de Larmenius

La charte de Larmenius est un document que certains Maçons Néo-templiers revendiquent comme étant une preuve de filiation entre l’Ordre des Templiers et la Franc-maçonnerie

Pourtant, Gottfried Joseph Gabriel Findel écrivain et éditeur maçonnique nous dit ceci :

« Ce document est un faux, et ceci pour les raisons suivantes :

1 – le latin n’est pas celui du 14e siècle ;
2 – les anciens statuts templiers sont ignorés puisqu’aucun Grand-Maître n’a jamais eu le pouvoir de désigner seul son successeur ;
3 – cet acte est inutile pour la préservation de la grande maîtrise, car si une convention avait existé, son élection se faisait sans charte, et si aucune convention n’avait existé, alors la charte devenait inutile ;
4 – l’installation de quatre vicaires généraux était absolument inutile, car à la période où l’Ordre était à son sommet, il n’en avait pas besoin, le Grand-Maître n’ayant jamais demandé qu’à avoir deux assistants ;
5 – si les templiers écossais dont parle la Charte signifient les francs-maçons… et suite au Convent de Wilhelmsbad de 1782 ayant exclu les templiers des loges maçonniques, alors l’anathème de la Charte ne peut avoir été édicté qu’après cette date ; 6 – la signature de Chevillon amène à la même conclusion, car si ce document a été préparé sous la direction de son prédécesseur, Cossé de Brissac, il n’a pu l’être que dans la période trouble et agitée de la Révolution, une époque où tout ce qui relevait de l’aristocratie et du templarisme ne pouvait que subit la persécution la plus violente. »

Eidtempler

Le serment Templier

Les Eidtempler sont plusieurs groupes rattaché au Cercle d’Enquête et de Recherche Templière. Certains de leurs membres se sont réservés le droit de porter le sceau de l’anonymat pour leurs garantir une certaine sérénité dans le cadre de leurs recherches très sensibles, aussi bien d’un point de vue religieux que politique. Ce qui n’empêchera pas néanmoins la publication ou la mise en avant de leurs recherches sous un nom d’emprunt ou un avatar.

Ainsi le CERT devient le pôle d’intérêt de plusieurs cercles qui collabores avec lui afin d’œuvrer dans la recherche de terrain et la connaissance des secrets des chevaliers Templiers.

Leur devise est 《scientia quaestiones》.

Certains de leurs travaux de recherche seront prochainement révélés sur leurs pages internet européennes et internationales www.eidtempler.com-ch-fr-de-org.

Car le temps des révélations a déjà pris racine dans notre époque, pour tenter de nous faire réaliser que le futur ne pourra se passer de la connaissance du passé.

La légende nous raconte que leurs pères se trouvaient jadis dans une salle voûtée, enveloppée d’un silence presque palpable. Seule une faible lumière provenant d’un feu crépitant dans la cheminée illuminait leurs visages tendus. Ils étaient tous là, hommes et femmes, chevaliers et nobles, tous issus des divers cantons de la Confédération Helvétique. Ils étaient réunis autour d’un serment templier ancien, un pacte qui remontait à des temps immémoriaux, un pacte qui avait été transmis de génération en génération, préservé dans le plus grand secret.

Le serment était inscrit sur un parchemin usé par le temps, écrit dans un ancien dialecte qui avait évolué avec le temps. Il était lié à une histoire qui remontait à l’origine de la chrétienté, une histoire qui, selon la légende, contenait des secrets qui pourraient changer la face du monde.

Le serment décrivait les devoirs et les responsabilités des Templiers, leurs vœux de pauvreté, de chasteté et d’obéissance, mais dans ses plis et ses replis, il contenait aussi des indices cryptiques. Ces indices menaient à des lieux sacrés, des reliques perdues et des traditions oubliées qui pourraient jeter une lumière nouvelle sur l’histoire du monde.

Chaque personne présente dans la salle connaissait l’importance du serment et du secret qu’il contenait. Ils savaient que leur quête pour déchiffrer les mystères de ce serment les mènerait à des endroits reculés, à travers des terres inhospitalières et des mers déchaînées. Mais ils étaient prêts, unis dans leur détermination et leur foi inébranlable.

Au fur et à mesure que la nuit avançait, ils commencèrent à discuter du serment, à interpréter ses mots, à débattre de ses implications. Ils savaient que leur voyage ne faisait que commencer. Mais quel que soit le chemin qu’ils emprunteraient, ils étaient sûrs d’une chose : ils allaient écrire une nouvelle page de l’histoire, une page qui pourrait révéler des vérités sur la chrétienté et le monde qui avaient été cachées pendant des siècles.

Nous avons aussi décidé de promouvoir dans notre monde moderne l’ancienne chevalerie via ce que nous appelons la Cyber-chevalerie.

Celle-ci se veut remettre en avant les valeurs fondamentales de la chevalerie de jadis, dont le point de départ remonterait pour nous à la chevalerie celto-romaine.

La cyber chevalerie notre nouvelle vision de la chevalerie

Nous avons décidé avec la Cyber-Chevalerie de perpétuer l’héritage de l’ancienne chevalerie via le réseau internet pour nos nouvelles générations. Avec ce nouveau mode de penser qui va probablement être catalogué de superflu, voire de farfelu pour les puristes, nous pensons au contraire qu’il nous faut vivre avec notre temps et utiliser les méthodes de transmission modernes.
Afin qu’elle ne tombe jamais dans l’oubli !

Cette nouvelle façon d’apprendre la chevalerie online permettra sans nul doute de créer de nouvelles vocations et d’amener par cet élan informatique des hommes et des femmes à rejoindre par la suite des Ordres de Chevalerie ou encore des organisations œuvrant pour la chevalerie non sectaires et dogmatiques.

www.cyberchevalerie.com

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