Chers amis et membres,

Alors que les fêtes de fin d’année approchent, je tiens à prendre un instant pour vous transmettre mes vœux les plus sincères. Que cette période festive soit remplie de joie, de bonheur et de moments précieux avec ceux qui vous sont chers.

Je souhaite également vous exprimer ma profonde gratitude pour votre engagement et votre confiance envers notre Cercle.

Votre soutien est essentiel et nous motive à continuer d’enrichir nos activités, nos conférences et notre site internet, qui a déjà attiré plus de 172’ 000 visiteurs à ce jour.

Je vous souhaite de passer de magnifiques fêtes et une nouvelle année pleine de succès et de prospérité.

Merci de faire partie de notre belle communauté !

Fondateur du Cercle d’Enquête et de Recherche Templière
Jean-Charles Martin

Un livre à ne pas manquer

Par Emanuele Arioli

Lancelot, Perceval, Yvain, ces noms de chevaliers de la Table Ronde ont passé les siècles. Mais tant d’autres, imaginés au Moyen Âge, ont été oubliés. Qui se souvient en effet que l’on a pu en compter plus de 150 ?

Un manuscrit du XVe siècle, unique en son genre, a entrepris de les rassembler et de fixer pour la postérité leurs destins, leurs portraits, ainsi que leurs blasons. Magnifiquement illustré, il condense tout l’univers du roi Arthur et du Graal, en présentant ses valeurs et ses lois. On y lit également les serments qui commandaient l’action des chevaliers aussi bien que les règles des tournois arthuriens. Car les aventures de ces figures romanesques n’ont pas seulement nourri les imaginaires : elles inspiraient la noblesse médiévale qui arborait fièrement les écus de l’angélique Galaad ou du beau Tristan.

Cette « encyclopédie arthurienne », inédite jusqu’à ce jour, retrouve enfin la lumière grâce au travail du chercheur Emanuele Arioli, artisan de la résurrection du chevalier Ségurant. Il s’agit là d’une formidable porte d’entrée pour découvrir la légende du roi Arthur et le monde des chevaliers de la Table Ronde. Le Brun sans Joie, Radouin le Perse, Solinan du Bois, Lupin des Croix et tous les autres retrouvent ici une identité et surtout un nom.

Cycle de conférences MysterOm 2025

Découvrez les conférences exclusives d’un membre fondateur du Cercle d’Enquête et de Recherche Templière (C.E.R.T.) !

En 2025, plongez au cœur des mystères de l’histoire, de l’ésotérisme et des sociétés secrètes grâce à une série de conférences captivantes animées par l’un des membres fondateurs du C.E.R.T.. Ces événements uniques vous invitent à explorer des thématiques fascinantes, mêlant rigueur historique, réflexion philosophique et exploration des mystères de l’humanité.

Les dates seront bientôt disponibles !

NOTRE DEVISE

Parabit Colligiret Factarum Sator
(Il se prépare à recueillir les faits du Stator).

Cette devise est en lien avec le logion 2 de l’Évangile apocryphe Thomas qui nous dit 《Logion 2: que celui qui cherche, qu’il ne cesse de chercher jusqu’à ce qu’il trouve ; quand il aura trouvé, il sera troublé ; troublé, il s’étonnera et il régnera sur le tout.

L’apôtre Thomas, qui était le plus sceptique au regard des pouvoirs de Jésus et qui ne croyait que ce qu’il voyait.

Histoire de la création du Cercle d’Enquête et de Recherche Templière Templier

Le Cercle d’Enquête et de Recherche Templière connu aussi comme le Cercle Templier avec les abréviation C.E.R.T et C.T (Cercle Templier).

Le Cercle d’Enquête et de Recherche Templière ou le Cercle Templier a été créé sous l’impulsion du Chevalier Miles Jean-Charles Martin, ancien Sénéchal de Suisse de l’O.S.M.T.H internationale, et du Chevalier Miles Jacques Dubos, qui allait devenir le 53ème Grand Maître de l’O.S.M.T.H internationale. Sa création fut validée lors du Convent de Stockholm en 2015.

Suite à la démission du Chevalier Miles Jean-Charles Martin de l’O.S.M.T.H, le Cercle Templier ou Cercle d’Enquête et de Recherche Templière devint une organisation totalement indépendante de l’O.S.M.T.H internationale.

C’est ainsi que cette organisation est devenu totalement indépendante et financée par des fonds privés. Elle est constitué de personnes sélectionnées pour leurs compétences et leurs spécialisations, et non pour leurs grades ou statuts sociaux. En effet, au sein du Cercle Templier tous nos Chevaliers quêteurs sont égaux.

Le siège de notre Cercle se trouve sur le territoire de Genève, où se trouvait jadis une commanderie Templière.

Effectivement, l’ordre du Temple comptait sur l’actuel territoire suisse que deux commanderies : La Chaux à Cossonay attestée en 1223 et à Genève (quartier de Rive) citée en 1277. Celles-ci possédaient d’autres maisons dépendantes (les écarts), notamment à Cologny, Bénex (commune de Prangins) et Entremont (commune de Yvonand). Tous ces établissements relevaient de la baillie (ou préceptorie) de Bourgogne, subdivision de la province de France

De nos jours, une grande partie de la connaissance originelle semble avoir été perdue dans les méandres de nos écrits, de nos préjugés et de nos croyances. Voilà pourquoi, ils nous paraissaient important d’effectuer des recherches et des enquêtes pour dissocier le vrai du faux.

Non par le, on m’a dit, mais par le, j’ai recherché !

Notre nouvelle organisme de chasseurs de trésors

Legacy Templar

Dans les brumes du temps, la légende des Chevaliers Templiers, cet ordre mystique et puissant, a laissé une empreinte indélébile sur le monde. Disparus en 1314, traqués par le roi Philippe IV de France, leurs secrets et leurs trésors ont été éparpillés, perdus dans les méandres de l’histoire. Mais les murmures de leur héritage ont persisté, inspirant des générations à rechercher ce qu’ils avaient laissé derrière eux.

Le Saint-Graal

A l’heure actuelle, nous vivons dans des temps quelque peu perturber, qui nous oblige, pour les plus réveillés d’entre nous, à parfaire notre connaissance. Afin de mieux appréhender notre environnement qui devient de plus en plus hostile. Cependant, nous ne pouvons pas toujours trouver les réponses à nos questions dans le présent, car celle-ci réside aussi dans l’histoire de notre passé.

Comme nous l’enseigne si justement, l’étymologie des mots grecs et latins historia, qui dénomment l’enquête comme une connaissance acquise par la recherche et transmise par le récit de ce que l’on a appris. C’est uniquement par la véracité de ce que nous avons trouvé et par sa transmission que nous pourrons apporter de nouveaux éléments à l’histoire de notre monde.

C’est par cette même histoire que les chevaliers templiers ont toujours été dépeints comme les gardiens d’une connaissance quasi mystique et secrète à travers les siècles.

Leur savoir et leur richesse devaient effrayer le Roi de France au point de les faire arrêter avant que l’Ordre ne soit dissous avec l’aval du Pape. Certains dignitaires furent même exécutés au bûcher dont le grand Maître Jacques de Molay sous de fausses accusations.

On sait maintenant que les Templiers avaient acquis des connaissances hors norme aussi bien dans les domaines de la spiritualité, de l’ésotérisme que dans l’art de la guerre.

Ce qui faisait d’eux une milice du Christ redoutable !

Comme les anciens Templiers, nous travaillons sur différentes enquêtes, englobent les formes de décryptages liées aux codifications du carré du Sator, le décryptage secret du sceau de Charlemagne, et la compréhension de l’alphabet secret templier ou encore le décryptage de la croix des huit béatitudes.

Nous sommes aussi sûrs des enquêtes de terrain concernant l’île secrète des Templiers et les implications de l’Ordre du Temple à Genève et bien d’autres sujets qui nous passionnent.

Dont celui des liens qui auraient existé entre la franc-maçonnerie et l’Ordre du Temple, qui semble actuellement être fondé sur des récits et des documents quelque peu douteux.

LE CARRÉ MYSTIQUE ET CODIFIÉ DES ANCIENS CHRÉTIENS.

Le carré du SATOR est un carré magique et l’une des plus anciennes codifications chrétienne connue (Pompei en 79). Le mot Sator est un mot celte qui correspond au Dieu des semailles, appelé aussi le semeur. Il est identifié chez les Romains à Jupiter puisque celui-ci est aussi appelé Sator Hominum et deorum soit respectivement le père des dieux et des hommes. Chez les Celtes, le Dieu Sator est lié expressément à la planète Saturne qui se dit Satorn. Ce carré renferme en lui les noms de la doctrine des premiers gnostiques.

LA SAINTE LIGNÉE DU CHRIST ET SON SYMBOLE.

L’Évangile de Luc présente Marie de Magdala comme la femme que Jésus a délivrée de sept démons ; elle devint une de ses disciples — peut-être la disciple femme la plus importante du Christ après sa propre mère —, et le suivit jusqu’à sa mort.

Un texte du codex de Berlin, écrit en copte à la fin du IIe s., porte son nom : l’Évangile de Marie. Il s’agit d’un texte gnostique comprenant un dialogue entre le Christ et Marie de Magdala, celle-ci le restituant aux apôtres, suivi de dialogues entre Marie et eux. Dans la Pistis Sophia, texte gnostique en copte datant de 350 environ, Jésus dialogue avec Marie Madeleine et les autres disciples.

L’Épître des apôtres 16,17, l’Évangile de Pierre, l’Évangile de Thomas et l’Évangile de Philippe évoquent également Marie Madeleine. Dans ce dernier, elle devient la disciple préférée de Jésus.

La tradition et l’iconographie chrétienne s’appuient sur ces textes canoniques et apocryphes pour donner plusieurs visages de Marie de Magdala, nommé « Sponsa Christi ») qui se traduit par Promise ou fiancée du christ.

De ses différents écrits de multiples hypothèses ont vu les jours sur la probabilité d’une sainte lignée engendrée par Jésus et Marie de Magdala. A ce jour, aucune preuve n’a pu être produite pour valider ses dires.
Henry Lincoln va d’ailleurs inspirer avec son livre l’énigme sacrée le romancier de renom Dan Brown pour son Da Vinci Code !

LES 1ER ORDRES DE CHEVALERIE CHRÉTIEN

On peut retrouver sur une pierre de Rome une gravure ou l’Empereur Constantin est gravé sur un trône ou il donne le collier avec la croix aux principaux de l’Empire avec l’inscription suivante « Constantinus Max: Imperator, postquam mundatus a lepra per medium Baptismatis, Milites sive Equites Deauratos creat in tutelam Cristiani nominis»

Milites sive Equites Deauratos Tutelam Cristiani nominis pourait ce traduire par Chevaliers d’orer née de la protection de la famille des chrétiens.

la Loi du Code Theodosien prœpofitis laborum, parle d’ailleurs de cinquante de ces chevaliers qui avaient pour mission de porter l’étendard du Laborum devant les Empereurs.

On peut aussi retrouver étrangement dans le mot DEAVRATOS (d’orer) l’anagramme du mot latin DAVE ablatif singulier de vas qui signifie garant et l’anagramme du mot sator.

LE CHEVALIER PERCEVAL OU L’ALLÉGORIE DE LA QUÊTE DU SAINT GRAAL

Le chevalier Perceval était l’un des célèbres chevaliers de la Table ronde qui participèrent activement à la quête du Saint Graal avec ses deux compagnons Bohort et Galaad.

Dans l’énigme sacrée des journalistes d’investigations britanniques Henry Lincoln, Michael Baigent et Richard Leigh, il est même associé au territoire de Sion en Valais (Suisse) malgré sa particule nominative de Gallois.

Il est dit dans la légende du Graal que sa sœur Dandrane était porteuse du Saint Graal !

Perceval et Galaad devaient malheureusement perdre la vie dans cette quête du Graal et seul, Bohort réussi à mettre un terme à celle-ci et à en ressortir vivant. La légende nous conte aussi que Perceval serait issu de la lignée du Roi pêcheur et du Roi Arthur et que c’est lui qui aurait été pressenti pour leurs successions.

Le nom de ce chevalier se disait aussi Peredur, un nom qui était composé en premier lieu de Pere qui se trouve être une variante de Per (celte) qui peut signifier Pierre, milieu, pomme, fertile, Lance, pointe et du nom Dur (celte) qui peut dire chêne, acier ou eau.

Ce même nom de Perceval nous laisse aussi apparaître dans son orthographe initiale le mot breton Per qui signifiaient à nouveau Pierre et ceval qui ne semblait correspondre à aucun nom en Celte.

Mais, alors que pouvait bien vouloir dire cette deuxième particule !

LE SCEAU SECRET DE CHARLEMAGNE

Et, si en réalité Charlemagne avait inventé une codification secrète qui nous permettrait de nous conduire à retrouver son trésor de connaissance.

LE CARRÉ MYSTIQUE ET CODIFIÉ DES ANCIENS CHRÉTIENS.

Le carré du SATOR est un carré magique et l’une des plus ancienne codification chrétienne connue ( Pompei en 79 ). Le mot Sator est un mot celte qui correspondrait au Dieu des semailles appelé aussi le semeur. Il est identifié chez les Romains à Jupiter puisque celui-ci est aussi appelé Sator Hominum et deorum soit respectivement le père des dieux et des hommes. Chez les Celtes le Dieu Sator est lié expressement à la planète Saturne qui ce dit Satorn. Ce carré renferme en lui les noms de la doctrine des premiers gnostiques.

SCEAU DU 1ER ROI DU PORTUGAL ET PRÉCEPTEUR DU TEMPLE.

Le premier sceau royal d’Alphonse Iᵉʳ semble être porteur d’un message. En effet, on remarque aisément que la disposition des lettres du mot « Portugal » peuvent être décomposées en « Por Tu Gral » :on peut lire POR qui signifie POUR en portugais puis Tu qui signifie Ensuite, tu ou toi et enfin, dans la partie inférieure, on peut lire GRAL, incluant le R décalé probable variante du mot Graal.

LA CROIX ABRAXAS DE LAUSANNE

Argent niellé H. 8, 3 cm, L. 8, 2 cm Burgondie franque, fin du VIe-VIIe siècle,Lausanne, musée cantonal d’archéologie et d’histoire, Inv. 30 969

A une époque où le christianisme est largement diffusé et adopté, les traces du paganisme subsistent et se mêlent à l’iconographie et la symbolique chrétienne. Ainsi, sur une croix découverte sur le torse d’un défunt, on peut lire l’inscription Abrasax, plus connue aujourd’hui sous la forme « Abracadabra » (Que Dieu protège). Cette formule était couramment inscrite sur de petites intailles-talismans à partir du IIe siècle et se retrouve naturellement sur des croix personnelles, afin d’en augmenter l’efficacité. Cette dimension quasi superstitieuse se retrouve dans les bourses-reliquaires, de petite taille, qui pouvaient être cousues aux vêtements.

LE SCEAU SECRET DE L’ORDRE DES TEMPLIERS

LE SECRETUM TEMPLI PLUS CONNU SOUS LE NON D’ ABRASAX (grec : Αβραξας) ou encore Abracax, est un terme gnostique, utilisé notamment par Basilide, qui désigne les 365 émanations du dieu suprême. ABRAXAS serait dit-on un cryptogramme d’origine hébraïque, écrit initialement sur deux lignes ABRA / XAS, qui lues en boustrophédon hébraïque, font ARBA / XAS, c’est-à-dire : « Que Dieu (ARBA) protège (XAS) ». La formule magique abracadabra proviendrait donc du terme abraxas.

Lettre de Jacques de Molay 1296

Lettre de Jacques de Molay, Grand Maître de l’Ordre du Temple, à Ramon de Bell-lloc, Commandeur de Torres de Segre, l’informant de son intention de se rendre à Chypre le 24 juin, et lui demandant l’aide nécessaire pour sa charge, le tiers de leurs revenus pour les efforts militaires pour libérer la Terre Sainte.

REX BELATOR

Lettre de Nicolas IV à l’archevêque de Narbonne, la partie soulignée en rouge montre la demande de fusion des ordres de l’Hôpital et du Temple.

Raymond Lulle, lors du Concile de Vienne. Il fut le premier à proposer l’idée d’une fusion des Ordres Chevaleresques après la chute de Saint-Jean d’Acre

Burchard von Schwanden, 12eme grand maître de l’Ordre Teutonique. Il quitte son poste juste avant la chute de Saint Jean d’Acre pour rejoindre les Hospitaliers puis essaie en vain de revenir chez les Teutons..

Le pape Nicolas IV qui demanda un concile pour la fusion des ordres.

Lettre de Nicolas IV à l’archevêque de Narbonne, la partie soulignée en rouge montre la demande de fusion des ordres de l’Hôpital et du Temple.

Raymond Lulle à gauche, lors du Concile de Vienne. Il fut le premier à proposer l’idée d’une fusion des Ordres Chevaleresques après la chute de Saint-Jean d’Acre

Nous nous intéressons aussi de près à Burchard von Schawnden, 12 eme grand maître de l’Ordre Teutonique. Ce personnage reste tres énigmatique: En 1290 il parti pour défendre Acre, mais arrivé sur place il ne resta que 3 jours avant de démissionner de son poste pour rejoindre l’Ordre des Hospitaliers. Il serait ensuite allé en Suisse où il décède en 1310. Certains historiens pensent qu’il serait lié au projet Rex Bellator, étant lui-même sous l’autorité du pape Nicolas IV.

Le pape Nicolas IV avait lui même déjà écrit une lettre à l’archevêque de Narbonne en 1291 imposant la nécessité de tout mettre en œuvre pour maintenir une présence chrétienne en terre sainte et amener les frères de l’Hôpital et du Temple à « ad unius ordinis unitatem » (l’unité d’un ordre unique)

Nicolas IV décède en 1292, ce qui coupe court au projet de fusion, son successeur Bonniface VIII ne cherchera pas à imposer cette fusion et ne fera que consulter les Maîtres des différents ordres.

La charte de Larmenius

La charte de Larmenius est un document que certains Maçons Néo-templiers revendiquent comme étant une preuve de filiation entre l’Ordre des Templiers et la Franc-maçonnerie

Pourtant, Gottfried Joseph Gabriel Findel écrivain et éditeur maçonnique nous dit ceci :

« Ce document est un faux, et ceci pour les raisons suivantes :

1 – le latin n’est pas celui du 14e siècle ;
2 – les anciens statuts templiers sont ignorés puisqu’aucun Grand-Maître n’a jamais eu le pouvoir de désigner seul son successeur ;
3 – cet acte est inutile pour la préservation de la grande maîtrise, car si une convention avait existé, son élection se faisait sans charte, et si aucune convention n’avait existé, alors la charte devenait inutile ;
4 – l’installation de quatre vicaires généraux était absolument inutile, car à la période où l’Ordre était à son sommet, il n’en avait pas besoin, le Grand-Maître n’ayant jamais demandé qu’à avoir deux assistants ;
5 – si les templiers écossais dont parle la Charte signifient les francs-maçons… et suite au Convent de Wilhelmsbad de 1782 ayant exclu les templiers des loges maçonniques, alors l’anathème de la Charte ne peut avoir été édicté qu’après cette date ; 6 – la signature de Chevillon amène à la même conclusion, car si ce document a été préparé sous la direction de son prédécesseur, Cossé de Brissac, il n’a pu l’être que dans la période trouble et agitée de la Révolution, une époque où tout ce qui relevait de l’aristocratie et du templarisme ne pouvait que subit la persécution la plus violente. »

Quant au nom Sator, c’est une grille de codage appelée aussi carré magique, l’un des premiers cryptages relié aux chrétiens gnostiques. Ce carré servait aussi de talisman pour une multitude de choses.

Cette grille de cryptages mettrait à jour les plus grands secrets du christianisme qui aurait été caché par Jésus lui-même. L’Empereur Constantin 1ᵉʳ, puis l’Empereur Charlemagne et enfin les Chevaliers Templiers auraient réussi à décrypter une partie de son message, mais rien ne devait nous être parvenu à ce jour.

Travail de recherche du Cercle Templier

Le commencement de la chevalerie Celto-romaine

Travail de recherche du Cercle Templier

La chevalerie Celto-romaine

Travail de recherche du Cercle Templier

L’histoire de l’origine des néo-templiers depuis 1705

La cyber chevalerie notre nouvelle vision de la chevalerie

Nous avons décidé avec la Cyber-Chevalerie de perpétuer l’héritage de l’ancienne chevalerie via le réseau internet pour nos nouvelles générations. Avec ce nouveau mode de penser qui va probablement être catalogué de superflu, voire de farfelu pour les puristes, nous pensons au contraire qu’il nous faut vivre avec notre temps et utiliser les méthodes de transmission modernes.
Afin qu’elle ne tombe jamais dans l’oubli !

Cette nouvelle façon d’apprendre la chevalerie online permettra sans nul doute de créer de nouvelles vocations et d’amener par cet élan informatique des hommes et des femmes à rejoindre par la suite des Ordres de Chevalerie ou encore des organisations œuvrant pour la chevalerie non sectaires et dogmatiques.

www.cyberchevalerie.com

Nous avons aussi décidé de promouvoir dans notre monde moderne l’ancienne chevalerie via ce que nous appelons la Cyber-chevalerie.

Celle-ci se veut remettre en avant les valeurs fondamentales de la chevalerie de jadis, dont le point de départ remonterait pour nous à la chevalerie celto-romaine.

Eidtempler

Le serment Templier

Les Eidtempler sont plusieurs groupes rattaché au Cercle d’Enquête et de Recherche Templière. Certains de leurs membres se sont réservés le droit de porter le sceau de l’anonymat pour leurs garantir une certaine sérénité dans le cadre de leurs recherches très sensibles, aussi bien d’un point de vue religieux que politique. Ce qui n’empêchera pas néanmoins la publication ou la mise en avant de leurs recherches sous un nom d’emprunt ou un avatar.

Ainsi le CERT devient le pôle d’intérêt de plusieurs cercles qui collabores avec lui afin d’œuvrer dans la recherche de terrain et la connaissance des secrets des chevaliers Templiers.

Leur devise est 《scientia quaestiones》.

Certains de leurs travaux de recherche seront prochainement révélés sur leurs pages internet européennes et internationales www.eidtempler.com-ch-fr-de-org.

Car le temps des révélations a déjà pris racine dans notre époque, pour tenter de nous faire réaliser que le futur ne pourra se passer de la connaissance du passé.

La légende nous raconte que leurs pères se trouvaient jadis dans une salle voûtée, enveloppée d’un silence presque palpable. Seule une faible lumière provenant d’un feu crépitant dans la cheminée illuminait leurs visages tendus. Ils étaient tous là, hommes et femmes, chevaliers et nobles, tous issus des divers cantons de la Confédération Helvétique. Ils étaient réunis autour d’un serment templier ancien, un pacte qui remontait à des temps immémoriaux, un pacte qui avait été transmis de génération en génération, préservé dans le plus grand secret.

Le serment était inscrit sur un parchemin usé par le temps, écrit dans un ancien dialecte qui avait évolué avec le temps. Il était lié à une histoire qui remontait à l’origine de la chrétienté, une histoire qui, selon la légende, contenait des secrets qui pourraient changer la face du monde.

Le serment décrivait les devoirs et les responsabilités des Templiers, leurs vœux de pauvreté, de chasteté et d’obéissance, mais dans ses plis et ses replis, il contenait aussi des indices cryptiques. Ces indices menaient à des lieux sacrés, des reliques perdues et des traditions oubliées qui pourraient jeter une lumière nouvelle sur l’histoire du monde.

Chaque personne présente dans la salle connaissait l’importance du serment et du secret qu’il contenait. Ils savaient que leur quête pour déchiffrer les mystères de ce serment les mènerait à des endroits reculés, à travers des terres inhospitalières et des mers déchaînées. Mais ils étaient prêts, unis dans leur détermination et leur foi inébranlable.

Au fur et à mesure que la nuit avançait, ils commencèrent à discuter du serment, à interpréter ses mots, à débattre de ses implications. Ils savaient que leur voyage ne faisait que commencer. Mais quel que soit le chemin qu’ils emprunteraient, ils étaient sûrs d’une chose : ils allaient écrire une nouvelle page de l’histoire, une page qui pourrait révéler des vérités sur la chrétienté et le monde qui avaient été cachées pendant des siècles.

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